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====== 1 Personnel communal - Règlement du travail - Annexe VIII - Proposition de modification - Pour accord ======
===== Co-construction des Pirates =====
==== Cycle de vie ====
* 2018-06-19T09:11 courriel annonce publique
==== Arguments ====
[[https://wikicitoyen.be/faq/start#ou_discuter_a_propos_du_wikicitoyen|Aide]]
/* begin of arguments */
* ** Pour **
* Parce que j'appuie le collège
* Parce que le dossier est complet et convaincant
* ** Contre **
* Parce que je suis contre le collège
* Parce que l'information est absente ou insuffisante
* Parce que la transparence administrative n'a pas été respectée
* ** Abstention **
* Parce que justification reprise au procès-verbal
* Parce que le quorum n'est pas atteint
/* end of arguments */
==== Evaluations ====
Est-ce que les arguments sont vrais, pertinents et importants ?
/* begin of evaluations */
^ Aternative ^ Critère ^ Evaluation de X|
| Pour| j'appuie le collège | Vrai - peu pertinent - peu important |
| | le dossier est complet et convaincant | Vrai - tres pertinent - très important |
| Contre| je suis contre le collège | Vrai - peu pertinent - peu important |
| | l'information est absente ou insuffisante | Vrai - pertinent - important |
| | la transparence administrative n'a pas été respectée | Vrai - pertinent - important |
| Abstention| la justification doit être reprise au procès-perbal | Vrai - pertinent - important |
| | le quorum n'est pas atteint | Faux (pas de vote sans quorum) |
| | ^ Conclusion ??? |
/* end of evaluations */
ArgMap:
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Args:
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==== Informations complémentaires ====
Certaines informations n'appuient pas un choix mais méritent d'être publiées
/* ===== Points d'intérêt ===== */
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===== Tags =====
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/* ===== Geolocalisation ===== */
/* begin geo */
/* end geo */
Semantic:
@context:
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===== Documents administratifs =====
==== Détails ====
La mise à jour de la charte relative à la mise en œuvre et à l’utilisation du système de vidéosurveillance intervient dans le cadre du projet de gestion de la sécurité de l’information et de l’entrée en vigueur du nouveau règlement européen sur la protection des données. Suite au projet de mettre en place un tel système de vidéosurveillance sur plusieurs sites appartenant à la Ville, les délégués à la protection des données ont étudié la meilleure manière d’encadrer cette problématique. Il s’agit d’une annexe au règlement de travail commun avec le CPAS.\\
Outre le rappel des principes liés à la mise en œuvre d’un système de vidéosurveillance, la charte vise à établir une procédure pour l’installation, l’utilisation et la maintenance d’un tel système, et ce afin de garantir les droits des travailleurs et des visiteurs mais également les obligations légales des Institutions en terme de protection des données.\\
/* ==== Résumé ==== */
/* ==== Notes explicatives ==== */
==== Projet de procès-verbal ====
1. Personnel communal - Règlement du travail - Annexe VIII - Proposition de modification - Pour accord
Le Conseil communal, en séance publique,
Vu l'article L1122-30 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation,
Vu la loi du 8 avril 1965 instituant les règlements de travail modifiée par la loi du 18 décembre 2002,
Vu la loi du 3 juillet 1978 relative aux contrats de travail,
Vu le Règlement (UE) 2016/679 du Parlement Européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des
personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces
données (Règlement général sur la protection des données),
Considérant le statut administratif du personnel communal fixé par le Conseil communal le 3 mai 2011 tel
qu'approuvé par le Ministre des Pouvoirs locaux et de la Ville par arrêté du 24 août 2011 référencé 050201/02/TS-
704/CC/020811/ O-L-N-2011-0884/AM/jud,
Considérant le règlement de travail du personnel communal déposé auprès du Contrôle des Lois sociales sous les
N° 19/50021033/WE (01.09.2015) et 19/50031086/WE (19.01.2016),
Considérant le procès-verbal de la réunion du 9 avril 2018 du Comité supérieur de Négociation et le protocole
2017/01 du même jour,
Considérant le procès-verbal de la réunion du Comité de Concertation Ville-CPAS du 19 juin 2018,
Sur proposition du Collège commuanl,
DECIDE
1. D'approuver le projet de modification de l'annexe VIII du Règlement du travail rédigé comme suit :
Annexe VIII : Charte relative à la mise en œuvre et l’utilisation du système de vidéosurveillance
Partie I : Généralités
1. Préambule
La Ville et le CPAS d’Ottignies-Louvain-la-Neuve utilisent des systèmes de vidéosurveillance afin d’assurer la
sécurité de leurs bâtiments, de leurs biens, de leur personnel et des visiteurs. La présente charte entend décrire les
systèmes de vidéosurveillance mis en œuvre par la Ville et le CPAS, et les précautions qui sont prises pour protéger
les données à caractère personnel, le droit à la vie privée et les autres droits fondamentaux et intérêts légitimes des
personnes filmées par les caméras des systèmes.
A ce titre, il y a lieu de distinguer les différentes normes applicables. Outre les règles générales relatives à la
protection de la vie privée et aux données à caractère personnel, il y a lieu de tenir compte de la loi du 21 mars
2007 réglant l’installation et l’utilisation de caméras de surveillance. Il peut également être opportun de s’inspirer
des dispositions instaurées par la CCT n°68 relative à la protection de la vie privée des travailleurs à l’égard de la
surveillance par caméras sur le lieu de travail.
2. Définitions
PROJET : version du 19 juin 2018
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Caméra de surveillance : tout système d’observation fixe ou mobile dont le but est de prévenir, de constater ou
de déceler les délits contre les personnes ou les biens ou les nuisances au sens de l’article 135 de la nouvelle loi
communale, ou de maintenir l’ordre public, et qui, à cet effet, collecte, traite ou sauvegarde des images ;
Caméra de surveillance fixe : est considérée comme fixe la caméra de surveillance qui n’est pas déplacée
(transportée) au cours de l’observation.
Caméra de surveillance mobile : est considérée comme mobile la caméra de surveillance qui est déplacée
(transportée) au cours de l’observation.
Par exemple : une caméra embarquée à bord d’un véhicule qui filme alors que le véhicule se déplace.
Domaine public : désigne l’espace comprenant les biens qui, par leur nature ou par une décision de l’autorité
compétente, sont affectés à l’usage de tous.
Donnée à caractère personnel : toute donnée se rapportant à une personne physique identifiée ou identifiable
(cfr. infra).
Institutions : désigne la Ville et le CPAS.
Lieu ouvert : tout lieu non délimité par une enceinte et accessible librement au public.
Lieu fermé : tout lieu délimité par une enceinte. Cela concerne notamment les bâtiments et les parkings avec
contrôle d’accès.
Enceinte : elle doit au minimum être composée d’une délimitation visuelle légitimement apposée ou d’une
indication permettant de distinguer les lieux.
Lieu fermé accessible au public : tout bâtiment ou lieu fermé destiné à l’usage du public, où des services peuvent
lui être fournis.
Lieu fermé non accessible au public : tout bâtiment ou lieu fermé destiné uniquement à l’usage des utilisateurs
habituels.
Emplacement : identification, sur le site, des points d’installation, où des caméras de surveillance sont installées.
Personne identifiable : personne physique qui peut être identifiée, directement ou indirectement, notamment par
un nom, un numéro d'identification, des données de localisation, un identifiant en ligne, ou à un ou plusieurs
éléments spécifiques propres à son identité physique, physiologique, génétique, psychique, économique, culturelle
ou sociale.
Préposé à la protection des données : personnes désignées par les Institutions pour remplir la fonction de délégué
à la protection des données à caractère personnel et/ou de conseiller en sécurité de l’information.
Responsable de traitement : la personne physique ou morale, l’association de fait ou l’administration publique,
qui seule ou conjointement avec d’autres, détermine les finalités et les moyens du traitement de données à caractère
personnel.
Surveillance par caméra : tout système de surveillance comportant une ou plusieurs caméras et visant à surveiller
certains endroits ou certaines activités sur le lieu de travail à partir d’un point qui s’en trouve géographiquement
éloigné, dans le but ou non de conserver les images dont il assure la collecte et la transmission.
Système de surveillance : le système par lequel des caméras de surveillance sont installées et utilisées, y compris
le visionnage et le traitement des images.
Traitement des données : toute opération ou ensemble d’opérations effectuées ou non à l’aide de procédés
automatisés et appliquées à des données à caractère personnel. Par exemple, la collecte, l'enregistrement,
l'organisation, la structuration, la conservation, l'adaptation ou la modification, l'extraction, la consultation,
l'utilisation, la communication par transmission, la diffusion ou toute autre forme de mise à disposition, le
rapprochement ou l'interconnexion, la limitation, l'effacement ou la destruction des données.
Ville : désigne l’administration communale.
3. Champ d’application
La présente charte s’applique :
•
à l’ensemble des personnes concernées, à savoir :
◦
le personnel quel que soit son statut ou sa catégorie d’emploi (employé, ouvrier, personnel d’entretien,
enseignant, intérimaire, stagiaire, étudiant, consultant, volontaire, etc.),
◦
les élus,
◦
les tiers, notamment les citoyens et les fournisseurs.
•
à l’ensemble des systèmes de vidéosurveillance pour lesquels les Institutions sont désignées comme
responsables de traitement, à savoir les systèmes dont elles définissent les finalités, qu’elles installent ou
font installer pour leur compte, dont elles gèrent le paramétrage et le traitement des données.
4. Objectifs
La présente charte a notamment pour vocation :
•
de définir les finalités de la mise en œuvre du système de vidéosurveillance ;
•
de définir les modalités de la surveillance exercée par les Institutions via ce système;
•
d’encadrer l’accès et le traitement des données à caractère personnel afin d’en assurer la sécurité ;
PROJET : version du 19 juin 2018
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•
d’informer et de définir les modalités d’informations des personnes concernées quant à leurs droits vis-à-
vis de cette vidéosurveillance ;
•
de protéger les droits des personnes concernées en matière de vie privée.
Partie II : Utilisation des moyens de vidéosurveillance sur les sites des Institutions
1. Principes généraux d’utilisation des moyens de vidéosurveillance
Les Institutions, étant sensibles à la problématique de la protection de la vie privée, lorsqu’elles décident d’utiliser
les moyens de vidéosurveillance, respectent les principes de transparence, de finalité et de proportionnalité
notamment exposés dans le règlement européen du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à
l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données ainsi que dans les
textes légaux directement relatifs à la vidéosurveillance comme la loi « Caméra » du 21 mars 2007.
A. Principe de transparence
Afin d’avertir les personnes concernées qu’elles sont filmées, les Institutions apposent les pictogrammes
règlementaires conformément aux dispositions légales.
Par ailleurs, les modalités d’utilisation des moyens de vidéosurveillance définies dans la présente charte sont
portées à la connaissance du personnel au minimum par voie d’annexe au règlement de travail.
Les autres personnes concernées sont informées via le site web des Institutions. Elles peuvent également s’adresser
au préposé à la protection des données.
En outre, toute disposition complémentaire d’ordre pratique fait l’objet d’une décision officielle motivée et d’une
diffusion auprès des utilisateurs concernés, via note de service à l’attention du personnel ou via le site web à
l’attention des visiteurs.
B. Principe de finalité
Le système de vidéosurveillance fait partie des mesures prises dans le cadre des politiques de sécurité plus
générales. Il facilite le contrôle des accès aux bâtiments ; il entend garantir la sécurité du personnel, des élus et des
tiers, des bâtiments ainsi que l’intégrité des biens et des informations présentes dans les locaux. Ce système est
ainsi utilisé à des fins préventives, dissuasives, et si nécessaire, dans le cadre de la résolution d’enquêtes portant
notamment sur
des accès physiques non autorisés aux locaux, aux infrastructures informatiques et aux informations, sur des vols
et/ou dégradations de matériel ou de biens, sur des agressions, etc.
La vidéosurveillance ne peut en aucun cas pallier à l’absence d’un autre système moins intrusif pour la vie privée
des personnes concernées.
Le système de vidéosurveillance n’est utilisé à aucune autre fin, comme, par exemple, le contrôle du travail ou la
présence du personnel. Il est donc entendu que si, par nécessité, des caméras doivent filmer des zones où le passage
du personnel est fréquent ou des zones où des membres du personnel sont amenés à travailler temporairement, les
images collectées ne pourront en aucun cas servir à des fins d’évaluation. Toutefois, si un membre du personnel
se rend coupable d’un des faits que la mise en place du système de surveillance entend prévenir, les données
collectées pourront être utilisées contre lui (cfr. supra).
C. Principe de proportionnalité
Afin de limiter autant que possible une ingérence importante dans la vie privée des personnes concernées, les
Institutions veillent à uniquement mettre en œuvre le système de vidéosurveillance lorsque tous les autres moyens
envisagés s’avèrent insuffisants au regard des finalités poursuivies (cfr. infra). Dans tous les cas, la décision de
recourir à un tel système est motivée et évaluée régulièrement (cfr. infra).
Par ailleurs, aucune surveillance n’est exercée dans les endroits où les personnes peuvent s’attendre à une attention
particulière pour le respect de leur vie privée, par exemple dans les espaces de détentes, les locaux sanitaires ou
les vestiaires. L’emplacement des caméras est choisi avec soin afin de limiter autant que possible la surveillance
des zones ne présentant aucun intérêt en regard des finalités déterminées par la présente charte.
En outre, conformément au prescrit légal, aucune surveillance n’est exercée sur le domaine public.
2. Mise en œuvre de la vidéosurveillance
Afin de garantir le respect des différents principes énoncés ci-avant, la mise en place de tout système de
vidéosurveillance est envisagée comme suit. Aucune dérogation à la procédure exposée ci-après n’est autorisée.
A. Analyse préliminaire et approbation du projet
Afin de garantir le respect des principes de finalité et de proportionnalité (cfr. infra), le projet de mettre en œuvre
un système de vidéosurveillance ainsi que le choix de l’emplacement des caméras sont préalablement motivés par
écrit, conformément au modèle repris dans l’annexe 1, auprès du Directeur général. Ce rapport est par ailleurs
communiqué pour avis au préposé à la protection des données.
En cas d’accord du Directeur général, le projet est soumis pour approbation, selon l’Institution concernée, au
Collège communal ou au Conseil de l’Action Sociale.
En cas de remarque du Directeur général, le projet, conformément amendé suite à ces dernières, est soumis pour
approbation, selon l’Institution concernée, au Collège communal ou au Conseil de l’Action Sociale.
En cas de désaccord du Directeur général, celui-ci est motivé par écrit.
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B. Communication
Afin de respecter le principe de transparence (cfr. supra), les pictogrammes règlementaires sont apposés aux
endroits opportuns préalablement à la mise en route des caméras.
S’agissant du personnel concerné est averti au plus tard une semaine avant la mise en route des caméras via une
séance d’information et une note de service afin de rappeler les modalités précisées dans la présente Charte et
d’exposer l’emplacement des caméras.
S’agissant des tiers, ils sont informés via le site web des Institutions qu’un nouveau lieu est mis sous surveillance
au moment de la mise en route du système. Il y est rappelé que les visiteurs peuvent prendre contact avec le préposé
à la protection des données pour toute information complémentaire. Pour des raisons évidentes de sécurité, les
détails sur le fonctionnement du dispositif et l’emplacement précis des caméras n’est pas communiqué au public.
Enfin et conformément au prescrit légal, le préposé à la protection des données inscrit le traitement dans le registre
prévu à cet effet au minimum un jour avant la mise en route des caméras.
C. Collecte des données et spécificités techniques
Chaque institution possède son système de vidéo surveillance. Ceux-ci ne sont pas interconnectés ; autrement dit,
chaque institution ne peut avoir accès aux données conservées par l’autre.
Les images sont collectées automatiquement à partir de caméras fixes.
Considérant qu’il y a lieu de protéger autant le personnel et les visiteurs que les biens matériels et les informations
détenues par les Institutions, cette surveillance est par défaut organisée 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
Afin de respecter le principe de proportionnalité (cfr. supra), chaque projet tend toutefois à réduire au strict
minimum les plages horaires de surveillance, en privilégiant notamment l’utilisation des caméras uniquement sur
détection de présence.
Par exemple : la présente Charte prévoit que la collecte d’images ait lieu 7 jours/7 et 24 heures/24 mais, au regard
du lieu où les caméras sont installées, il est estimé qu’une surveillance uniquement sur détection de présence et en
dehors des heures de service est suffisante. C’est dès lors cette plage horaire qui doit être appliquée.
Par ailleurs, la qualité des images collectées et les possibilités de zoom pourront permettre d’identifier les
personnes et/ou les véhicules se trouvant dans le champ des caméras, de jour comme de nuit. Des données
complémentaires comme le lieu, la date et l’heure peuvent y être associées.
Même si le matériel installé le permet, et uniquement à l’exception de l’utilisation d’infrarouges pour la
surveillance de nuit, la vidéosurveillance mise en œuvre n’a pas recours à la technologie intelligente pouvant y
être attachée, comme par exemple l’association avec toute autre base de données biométriques, photographiques
ou d’immatriculations, avec un logiciel de reconnaissance faciale ou de suivi des objets ou des personnes en
mouvement, etc.
D. Administration technique, Stockage et sécurisation des données
L’administration technique du système ainsi que le stockage et l’extraction des données sont assurés par le Service
Informatique (cfr. infra).
Les données collectées sont stockées sur un serveur dédié et sécurisé appartenant aux Institutions. Excepté pour
des raisons de maintenance, aucun écran de contrôle n’est directement relié à ce serveur pour le visionnage des
images. L’accès aux images se fait uniquement via une session strictement personnelle dans l’application dédiée,
elle-même accessible via un ordinateur protégé par un login et un mot de passe.
Le Service Informatique est responsable de la maintenance et de la sécurisation du serveur et du dispositif de
caméras de surveillance.
Il en documente la gestion quotidienne (cfr. infra) et signale toute anomalie au préposé à la protection des données.
Par exemple : une tentative d’intrusion dans le système informatique qui mettrait en danger la sécurité des données
collectées par le système de vidéosurveillance.
Le Service Informatique peut déléguer à une personne déterminée la maintenance préventive, à savoir la
vérification régulière du fait que les caméras fonctionnent et que les images sont exploitables. En toute hypothèse,
le responsable du service de prévention et protection ou le préposé à la protection des données est reconnu comme
étant habilité pour effectuer cette maintenance. Cette gestion quotidienne est documentée via le registre prévu à
cet effet (cfr. infra) et, au besoin, tout disfonctionnement est immédiatement signalé au Service Informatique et/ou
au Service Travaux.
E. Accès et utilisation des données
Toute personne amenée à traiter les données collectées via les systèmes de vidéosurveillance est soumise au devoir
de confidentialité et au respect de la présente Charte. Les Institutions se réservent le droit de lui faire signer un
engagement écrit en ce sens.
Par défaut et pour des raisons évidentes de maintenance du système, les seules personnes ayant accès aux données
enregistrées sont les membres du Service Informatique. Tout autre accès est délivré selon les procédures explicitées
ci-dessous.
Accès et utilisation en direct des données
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Les images sont visionnées en direct uniquement dans le cadre d’une maintenance préventive destinée à contrôler
le bon fonctionnement des caméras (cfr. supra).
L’accès à ces images se fait prioritairement via une session personnelle sur une application dédiée (cfr. supra).
L’utilisation de cette application se fait aux conditions prescrites par la Charte d’utilisation des moyens numériques
d’accès et de traitement de l’information.
Accès, utilisation « en différé »
L’utilisation des images « en différé » a toujours lieu suite à la mise en évidence d’un incident et/ou d’une anomalie
qui peut être détecté(e) :
•
via une alerte envoyée par le système de vidéosurveillance ;
•
par un membre du personnel, un élu ou un tiers.
En outre, les données collectées peuvent être réclamées par la Police dans le cadre d’une enquête.
Toute personne impliquée dans une telle détection et le devoir d’enquête complémentaire qui s’en suit
éventuellement est tenue à un devoir strict de confidentialité.
Dans le cadre d’une procédure disciplinaire interne, la personne concernée se voit notifier l’existence de données
collectées à son encontre via le système de vidéosurveillance ainsi que leur durée de conservation au plus tard lors
de la convocation à l’audition.
Incident/Anomalie détecté(e) via une alerte envoyée par le système
Certains systèmes de vidéosurveillance permettent l’envoi d’un message (courriel, sms, etc.) lorsqu’une caméra
commence à enregistrer. Considérant la fréquence de passage dans la zone filmée, ce type d’alerte peut
éventuellement être paramétré pour fonctionner uniquement en dehors des heures de service.
En tous les cas, le responsable de la zone filmée vérifie préalablement si l’alerte ne concerne pas un évènement
justifié.
Par exemple : une intervention de la garde du service des Travaux, l’utilisation d’un code pour la désactivation
d’une alarme, la présence d’un concierge, l’existence d’autres indices confirmant un incident/une anomalie, etc.
Si l’alerte ne peut être vérifiée par un autre évènement justifié, le responsable de la zone filmée fait parvenir un
rapport écrit au Directeur général qui, suivant les éléments du dossier, décide d’ordonner ou non le visionnage des
images. Ce rapport comprend le lieu, la date et l’heure de l’incident/l’anomalie ainsi que les différentes
vérifications préalablement effectuées.
Lorsque le Directeur général ordonne le visionnage des images, ces dernières sont visionnées par le responsable
du service interne de prévention et protection au travail ou par le préposé à la protection des données, en présence
du responsable de la zone filmée ou de son délégué.
Dans un rapport écrit au Directeur général, le responsable du service interne de prévention et protection au travail
ou le préposé à la protection des données explicitent le contenu des images et les conditions d’utilisation et de
conservation des données collectées.
Le Directeur général peut alors décider d’engager ou non les poursuites adéquates en regard des faits constatés
(procédure disciplinaire, plainte auprès des autorités compétentes, etc.).
Incident/Anomalie détecté(e) un membre du personnel, un élu ou un tiers
Lorsqu’un incident/une anomalie est détecté(e) par un membre du personnel ou lui est rapportée par un élu ou un
tiers, ce dernier en informe directement son responsable de service ou, en l’absence de celui-ci, son supérieur
hiérarchique.
Si l’incident/l’anomalie est rapportée par un tiers, la personne qui reçoit son témoignage veille à le consigner le
plus précisément possible par écrit (lieu, date, heure, nature des faits constatés, etc.) et à prendre les coordonnées
du témoin.
Le responsable de service ou, en l’absence de celui-ci, son supérieur hiérarchique, fait parvenir un rapport écrit au
Directeur général qui, suivant la nature des faits, décide d’un devoir d’enquête complémentaire en interne (selon
la procédure explicitée au point précédent) ou du dépôt d’une plainte auprès des autorités compétentes.
F. Transfert des données aux autorités policières et judiciaires
Les données collectées grâce à un système de vidéosurveillance ne peuvent être transférées qu’aux autorités
policières et judiciaires.
Ce transfert est documenté via le registre prévu à cet effet (cfr. infra).
Dans le cadre d’une procédure impliquant un membre du personnel, une notification est envoyée à la personne
concernée au plus tard le jour du transfert de données.
G. Registre de maintenance
Les activités de maintenance du système sont documentées dans un registre tenu à cet effet par le Service
Informatique, le responsable du service de prévention et protection et/ou le préposé à la protection des données.
Les informations qui y sont reprises sont au minimum :
•
l’identification du système de surveillance sur lequel la maintenance est effectuée
•
la date et l’heure à laquelle la maintenance est effectuée
•
la nature de la maintenance
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•
l’identité des personnes ayant effectué la maintenance
•
le constat ou non d’un dysfonctionnement
•
la date à laquelle le dysfonctionnement est résolu
H. Registre des activités de traitement spécifiques au système de vidéosurveillance
Toute activité de traitement relative au système de vidéosurveillance est consignée dans un registre tenu à cet effet
par le préposé à la protection des données. Toute personne qui en justifie l’intérêt peut solliciter l’accès aux données
consignées dans ce registre auprès du préposé à la protection des données.
L’utilisation « en différé » du système de vidéosurveillance est documentée au minimum comme suit :
•
le lieu, la date et l’heure à laquelle les images ont été collectées
•
l’identité des personnes qui ont visionné les images
•
la date et l’heure à laquelle les images ont été extraites du serveur
•
l’identité de la personne ayant procédé à l’extraction
•
la raison pour laquelle les images ont été extraites
•
la durée de conservation des images
•
si la durée de conservation est prolongée, la motivation ainsi que la durée de conservation complémentaire
•
si les images ont été remises à un tiers : l’identité du destinataire, la date et le support via lequel les données
ont été transmises
I. Suppression des données
Les images sont conservées durant une période de 30 jours calendrier. Toutes les images sont ensuite physiquement
écrasées par les nouvelles images enregistrées.
Certaines images peuvent être conservées plus longtemps si cela s’avère nécessaire pour servir de preuve après un
incident de sécurité ou dans le cadre d’une enquête. Cette conservation est rigoureusement documentée (cfr. supra)
et sa nécessité est réévaluée régulièrement.
J. Examen périodique
Le système de vidéosurveillance est évalué une première fois 6 mois après sa mise en service, notamment dans le
but de réaliser d’éventuelles adaptations pratiques et/ou techniques. Celles-ci sont documentées et, si besoin, ces
dernières sont portées à la connaissance des personnes concernées (cfr. supra).
Par la suite, l’opportunité de maintenir le système de vidéosurveillance est évaluée tous les deux ans par le
responsable de chaque zone filmée via un rapport écrit soumis au Directeur général et au préposé à la protection
des données qui émettent des recommandations quant au maintien, à la suppression ou à la réorganisation de la
vidéosurveillance.
Ce rapport, accompagné des éventuelles recommandations, est en outre présenté aux représentants du personnel
et, selon l’Institution concernée, au Collège communal ou au Conseil de l’Action Sociale.
Partie III : Droits des utilisateurs
1. Droit d’information
Dans le cadre des présentes directives, la personne concernée a, à tout moment, le droit de prendre connaissance
de toute information la concernant ayant fait l’objet d’un enregistrement par les Institutions. Pour ce faire, il peut
prendre contact avec le préposé à la protection des données.
2. Droit de rectification
La personne concernée a le droit d’obtenir, via demande écrite auprès du Directeur général, la rectification de toute
donnée enregistrée et inexacte la concernant. Dans le mois qui suit l’introduction de cette demande et suivant l’avis
du préposé à la protection des données, l’Institution concernée fait rectifier les données si les inexactitudes sont
avérées et communique à la personne concernée la suite réservée à sa demande.
3. Droit de suppression et d’effacement
La personne concernée qui a fait l’objet d’une surveillance a le droit d’obtenir la suppression de toute donnée
enregistrée la concernant qui, compte tenu des finalités du traitement :
•
est inexacte ;
•
dont l’enregistrement, la communication et/ou la conservation sont légalement interdits et/ou ne respectent
pas les présentes directives ;
•
qui a été conservée au-delà d’une période raisonnable, c’est-à-dire au-delà de la période nécessaire pour
que les éventuels délais de procédure disciplinaire ou judiciaire et ceux liés aux voies de recours contre
ces procédures soient épuisés.
Ces conditions ne sont pas cumulatives.
La personne concernée a le droit d’obtenir, via une demande écrite auprès du Directeur général, la suppression des
données la concernant. Dans le mois qui suit l’introduction de cette demande et suivant l’avis du préposé à la
protection des données, l’Institution concernée communique à l’utilisateur la suite qui a été réservée à sa demande.
4. Droit de recours
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Si la personne concernée n’est pas satisfaite de la réponse apportée par l’Institution concernée quant à l’exercice
de ses droits d’information, de rectification, de suppression et/ou d’effacement, elle peut prendre contact avec
l’Autorité de protection des données.
Partie IV : Dispositions finales
1. Entrée en vigueur, évaluation, modification et mise en application pratique
La présente Charte entre en vigueur à la date de son approbation par le Conseil. Elle est évaluée périodiquement
notamment afin de tenir compte des nouveaux besoins, des nouvelles pratiques et technologies, des nouvelles
législations. Toute modification à la présente Charte doit être approuvée par le Conseil.
Par ailleurs, toute disposition pratique que l’Institution concernée est amenée à prendre pour la mise en application
de la présente Charte fait l’objet d’une décision officielle et d’une diffusion auprès des personnes concernées.
2. Législation et références
Règlement (UE) 2016/679 du Parlement Européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des
personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces
données (Règlement général sur la protection des données).
Convention européenne des droits de l’homme ; particulièrement l’article 8 relatif à la protection de la vie privée.
Pacte international relatif aux droits civils et politiques ; particulièrement, l’article 17 relatif à la vie privée.
Déclaration universelle des droits de l’homme ; particulièrement l’article 12.
Charte des droits fondamentaux ; particulièrement les articles 7 et 8.
La Convention 108 et le Protocol additionnel 181 du Conseil de l’Europe.
Constitution belge ; particulièrement l’article 22 relatif à la protection de la vie privée.
Code pénal, particulièrement les articles 550 bis et 550 ter relatifs aux Infractions contre la confidentialité,
l'intégrité et la disponibilité des systèmes informatiques et des données qui sont stockées, traitées ou transmises
par ces systèmes.
Code d’instruction criminelle, particulièrement l’article 32 du Titre préliminaire relatif à la nullité d’un élément de
preuve obtenu irrégulièrement.
Code civil, particulièrement les articles 1382 et 1384 relatifs à la responsabilité civile.
Loi du 21 mars 2007 réglant l'installation et l'utilisation de caméras de surveillance
Loi du 8 décembre 1992 relative à la protection de la vie privée à l’égard du traitement des données à caractère
personnel.
Loi du 3 juillet 1978 relative aux contrats de travail.
Arrêté royal du 2 juillet 2008 relatif aux déclarations d'installation et d'utilisation de caméras de surveillance.
Arrêté royal du 10 février 2008 définissant la manière de signaler l'existence d'une surveillance par caméra.
Arrêté royal du 20 septembre 1998 rendant obligatoire la convention collective de travail n° 68 du 16 juin 1998
relative à la protection de la vie privée des travailleurs à l'égard de la surveillance par cameras sur le lieu de travail.
Circulaire ministérielle du 10 décembre 2009 relative à la loi du 21 mars 2007 réglant l'installation et l'utilisation
de caméras de surveillance, telle que modifiée par la loi du 12 novembre 2009.
Délibération du Conseil Communal du 8 juin 2017 relative à l’approbation de la Politique de gestion intégrée de
l’information et de la sécurité de l’information.
Délibération du Conseil de l’Action sociale du 18 mai 2015 relative à la désignation de conseillers en sécurité de
l’information pour le CPAS.
Délibération du Collège Communal du 1er juin 2017 relative à la désignation d’un co-délégué à la protection des
données supplémentaire pour la Ville.
Délibération du Collège Communal du 1er juin 2017 relative à la désignation de conseillers en sécurité de
l’information pour la Ville.
Délibération du Collège Communal du 2 juin 2016 relative à la désignation de délégués à la protection des données
pour la Ville.
Délibération du Collège communal du 9 juillet 2015 relative à la désignation d’un co-conseiller en sécurité local
de l’information (ratification de la délibération du Conseil de l’Action sociale du 18 mai 2015).
Règlement de travail du personnel communal et du CPAS (version du 01/09/2015), notamment les titres IX et X
relatifs aux procédures disciplinaires et pénalités/amendes pour le personnel.
Recommandation de la CPVP n°04/2012 du 29/02/2012, d'initiative sur les diverses possibilités d'application de
la surveillance par caméras.
Recommandation n° r (89) du 18 janvier 1989 du comité des ministres aux états membres sur la protection des
données à caractère personnel utilisées à des fins d'emploi.
Lignes directrices du Contrôleur Européen de la Protection des Données en matière de vidéosurveillance (dans sa
version du 17 mars 2010).
La présente charte a notamment été rédigée sur le modèle de la Politique en matière de vidéosurveillance de la
Cour des comptes européenne (approuvée le 26 octobre 2011) et de la Politique de vidéosurveillance du Groupe
Banque européenne d’investissement (dans sa version de septembre 2012).
PROJET : version du 19 juin 2018
CONSEIL COMMUNAL DU 26 JUIN 2018 | SEANCE PUBLIQUE
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Annexe 1 : Rapport préliminaire à la mise en œuvre d’un système de vidéosurveillance
Date :
Auteur du rapport :
Nom, prénom, fonction
Mise en contexte de la vidéosurveillance
Site à placer sous surveillance :
Motivation :
Expliciter ici les raisons pour lesquelles vous souhaitez recourir à la vidéosurveillance. Merci d’appuyer votre
exposé par des faits concrets et d’expliquer en quoi les moyens mis en œuvre actuellement ne sont pas suffisants.
Emplacement des caméras :
Merci de fournir un plan indiquant l’emplacement et les angles de vue des caméras.
Responsable de la zone filmée :
Nom, prénom et fonction de la personne qui sera chargée du suivi du présent projet, tant dans sa mise en œuvre,
son évaluation ou les premières vérifications dans le cadre de la détection d’incident/anomalie.
Recommandations du préposé à la protection des données
Cadre réservé au préposé à la protection des données
Avis du Directeur général
Cadre réservé au Directeur général
◦
Favorable
◦
Favorable, sous conditions :
◦
Défavorable, motivation :
Annexe 2 : Mise en œuvre d’un système de vidéosurveillance
Date :
Auteur du rapport :
Nom, prénom, fonction
Site concerné :
Date d’approbation du projet d’installation du système de vidéosurveillance :
Merci de joindre une copie de la délibération du Collège (Ville) ou du Conseil de l’Action sociale (CPAS)
Matériel de vidéosurveillance :
Référence du bon de commande/du marché public :
Merci de joindre une copie du descriptif technique remis au fournisseur lors de la commande ainsi qu’une copie
du descriptif technique du matériel acquis
Information des travailleurs et des tiers :
Référence de la note de service :
Date de diffusion de la note de service :
Emplacement des pictogrammes :
Date d’installation des pictogrammes :
Date de mise en service du système de vidéosurveillance :
Annexe 3 : Evaluation du système de vidéosurveillance
Date :
Auteur du rapport :
Nom, prénom, fonction
Site concerné :
Date de mise en service du système de vidéosurveillance :
Evaluation : o après 6 mois (première évaluation)
o biannuel
Evaluation technique :
Les réglages des caméras sont-ils adéquats ?
Par exemple : les angles de vue, la sensibilité des détecteurs de présence, les plages horaire d’enregistrement, etc.
o Oui
o Non. Pourquoi ?
Des disfonctionnements du système de vidéosurveillance ont-ils été constatés ?
o Oui
o Non
Evaluation des données collectées :
Des anomalies/infractions ont-elles été détectées ou prouvées grâce au système de vidéosurveillance ?
o Oui
o Non
Les données collectées ont-elles permis de poursuivre les auteurs d’anomalies/d’infractions ?
PROJET : version du 19 juin 2018
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o Oui
o Non
Evaluation de l’efficacité du système de vidéosurveillance :
Grâce à l’installation de ce système, avez-vous constaté une baisse des (tentatives) d’accès non autorisé, de
dégradation ou de vol, d’agression, etc.
o Oui. Expliquez.
o Non
Poursuite de l’utilisation de la vidéosurveillance :
Recommandations du préposé à la protection des données
Cadre réservé au préposé à la protection des données
Avis du Directeur général
Cadre réservé au Directeur général
◦
Favorable
◦
Favorable, sous conditions :
◦
Défavorable. Motivation :
Date de la prochaine évaluation :
Le document peut servir de fiche d’identification du système de vidéosurveillance auquel on joindra tous les autres
documents utiles pour le suivi du dossier.
Il peut être joint en annexe au dossier présenté au Collège pour approbation du projet.
Documents utiles pour compléter le dossier :
•
Délibé du Collège
•
CDC, offre et attribution pour le matériel choisi (pour spécificités techniques)
•
Notes de service
•
Rapports d’évaluation du système
•
Documents relatifs au visionnage en direct
2. De soumettre la présente décision à l'approbation des autorités de tutelle.
/* ==== Délibération ==== */
/* ==== Décision ==== */
/* ==== Impact financier ==== */
/* ==== Votes ==== */
/* ==== Authentification ==== */
/* ==== Annexes ==== */
~~SHORTURL~~
~~DISCUSSION~~